«La succession des crimes commis par les Ligues de protection de la révolution (LPR) contre les hommes politiques, les journalistes et les intellectuels vient de rendre légitime la revendication populaire de dissoudre ces Ligues», a estimé, jeudi, le Mouvement Nidaa Tounes.
Dans une déclaration, il impute la «responsabilité directe et indirecte» de ces crimes à la coalition au pouvoir qui doit assumer ses responsabilités à ce sujet. Dans ce contexte, le Mouvement rappelle l’agression, le 14 janvier, des journalistes Zied Hani et Néji Baghouri à l’avenue Habib Bourguiba, et dénonce le recours des «ennemis de la révolution» à fouler aux pieds la bannière du mouvement lors d’une marche organisée à l’occasion du 2e anniversaire de la révolution et l’attaque du local de Nidaa Tounes à Tunis.
WMC/TAP