Le Fonds monétaire international (FMI) soutient le recours du gouvernement tunisien aux Sukuks (l’équivalent des obligations dans la finance occidentale) pour réduire le déficit budgétaire.
C’est ce qui ressort d’un rapport préliminaire de la mission que vient d’effectuer le Fonds en Tunisie (12 – 20 novembre 2012).
Le fonds met toutefois en garde contre le risque possible de retard lié à la mise en place d’une infrastructure et réglementation appropriée pour ce type de marché.
L’ultime but est de faire en sorte que le ratio dette publique/PIB reste constant à 48% du PIB. Ce ratio pourrait atteindre, d’après le FMI, 51% en 2013 si les besoins de recapitalisation des banques étaient pris en compte.