Rien de grand n’aurait plus se réaliser sans ambition. C’est sans doute en jouant sur cette fibre que ce petit pays d’Afrique de l’Ouest, en l’occurrence le Bénin, ambitionne de devenir “le quartier numérique“ de la sous-région.
En effet, selon le site agenceecofin.com, “aujourd’hui, … les capacités télécoms du Bénin se sont nettement accrues. Beaucoup de pays ouest-africains sont tributaires de connexions passant par le Bénin, surtout dans le domaine de la fibre optique. L’on se souvient qu’en mai 2011 un bateau avait rompu, au Bénin, le câble SAT-3, provoquant un scénario catastrophe dans toute l’Afrique de l’Ouest. Béninois, Togolais, Nigériens, Ivoiriens, etc., tous étaient quasiment privés du net et coupés du reste du monde“.
Et les chiffres officiels de la Direction générale des communications électroniques et de la poste, montrent qu’au 30 septembre 2011, “la couverture du territoire par l’ensemble des réseaux GSM au Bénin est évaluée à 90,26%, soit environ 99,5% de la population couverte. Ce qui fait dire à de nombreux observateurs qu’au Bénin il n’y a pas que les passages à niveau et les autoroutes qui poussent, il y a aussi de vraies autoroutes de l’information qui sont partout“.
Dans le domaine de l’Internet haut débit, Isocel Telecom, a été distingué par l’ATP Forum «Meilleur opérateur données Afrique de l’Ouest» et «shortlisté» «Best Backhaul Solution for Africa». On également que l’Internet fait désormais la joie des Béninois et des entreprises béninoises.
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