La journaliste et propriétaire du portail «Mille-et-une-Tunisie.com», Amel Djait, a présenté aujourd’hui mardi 16 avril lors d’une conférence de presse tenue à Tunis, le hors-série 2013 du portail qui se veut cette année l’accompagnateur des principaux évènements liés à la culture, à l’hébergement alternatif, à l’écotourisme, à l’artisanat et au bien-être, sans oublier la gastronomie.
«Il livre, à travers un périodique de 184 pages, diffusé en exclusivité par nos partenaires en Tunisie et à l’étranger ainsi que dans les principales librairies, le concentré d’un pays qui se réinvente en cette période de tous les possibles», a déclaré Mme Djait qui ajoutera que dans ce numéro on passera de l’éco-construction en Tunisie au stambali en passant par l’univers de la pâtisserie ou de la cavalerie traditionnelle.
Ce hors-série est, dit-elle, un outil innovant pour promouvoir la Tunisie autrement. Il est une innovante et nouvelle passerelle qui propose et partage, cherche et découvre, étonne et s’étonne, de la découverte d’un pays pluriel et méconnu.
Organisation du Prix de l’équitation traditionnelle
Dans le cadre de la revalorisation des aspects culturels spécifiques aux régions en matière d’habits traditionnels, d’harnachement du cheval, de la sellerie et de la maroquinerie, on apprend lors de la conférence que l’Union Syndicale Interprofessionnelle du Cheval (USIC) organisera fin mai, pour la première fois, le «Prix de l’équitation traditionnelle».
Ce prix est le premier jalon d’un championnat national annuel inscrit dans le plan d’actions global de l’USIC. Se tenant en marge du Grand Prix du Ppésident de la République et de la Journée internationale des courses, le Prix de l’équitation traditionnelle bénéficiera de la visibilité nécessaire pour être un véritable coup d’envoi à la fois de façon pérenne pour les futurs tournois annuels dont le démarrage est prévu à partir de janvier 2014, mais aussi de façon occasionnelle pour des évènements de grande envergure comme le Grand Prix du Maghreb qui se tiendra à Tunis en décembre 2013.
Par ailleurs, et à titre d’exemple, Mme Djait a rappelé que la selle traditionnelle, aujourd’hui, ne se fabrique plus en Tunisie, alors qu’au Maroc, au-delà de son usage conventionnel destiné aux cavaliers, elle est devenue un «must» de l’artisanat, un produit phare, un des articles de luxe les plus demandés par les touristes et commandés même à partir de l’étranger.