Mustapha Nabli, ancien gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT), a tiré, mardi 28 mai sur les ondes de Radio Express Fm, sur les thèses qui militent en faveur de la séparation du politique et de l’économique et plaidé pour l’interdépendance des deux sphères.
Il a rappelé que le problème auquel butte actuellement la Tunisie n’est pas économique mais spnt par excellence politiques. «Si jamais les gouvernements s’étaient préoccupés, depuis la révolution, de l’amélioration de la visibilité du pays, de l’instauration de la sécurité et de la stabilité sociopolitique, la Tunisie aurait pu se passer du prêt structurel contracté auprès du Fonds monétaire international (2,7 milliards de dinars)».