C’est du moins ce qu’a laissé entendre Bouali Mbarki, secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), lors d’une interview accordée, lundi 30 septembre, à Radio Express Fm.
Précisément, il a déclaré que «les partenaires de la Tunisie suivent de près ce dialogue et attendent, avec impatience, à ce qu’il aboutisse à des résultats consensuels satisfaisants pour toutes les parties».
Interpellé par la même radio sur la position des Américains qui auraient prédit à la Tunisie, au cas où aucune avancée ne serait enregistrée en matière de dialogue national, le scénario égyptien, le ministre conseiller auprès du chef du gouvernement, Noureddine B’hiri, a fait semblant de ne pas entendre la question et révélé dans un monologue hystérique que la révolution tunisienne continue à bénéficier de l’appui américain, européen, arabe et islamique. Il a cité pour témoignage les assurances données, à cette fin, par le président Obama au président provisoire Marzouki en marge de la participation de ce dernier, à New York, à l’Assemblée générale de l’ONU.
Décryptage: l’intervention américaine ne serait pas de son goût et on le comprend….