Le ministère de l’Agriculture a indiqué vendredi que le suivi des activités
d’aquaculture est assuré par un contrôle vétérinaire et technique rigoureux par
le biais d’un programme de détection des résidus, ratifié par l’Union
européenne.
Cette précision du ministère de l’Agriculture intervient suite aux déclarations
du chercheur tunisien Hédi Ben Mansour qui avait soutenu, début décembre, lors
d’une réunion scientifique à Mahdia, que le littoral tunisien est pollué par de
grandes quantités d’antibiotiques utilisées dans l’élevage de poissons pouvant
provoquer des maladies cancéreuses.