Les crédits complémentaires pour l’année en cours, habituellement servis au plus tard avant la mi-février, n’ont pas été libérés, malgré une année céréalière qui s’annonce prometteuse, a fait savoir CONECT AGRI, vendredi, dans un communiqué.
Ce retard est irrécupérable, d’après l’organisation qui relève de la Confédération nationale des entreprises citoyennes de Tunisie, puisque des opérations culturales qui en dépendent, comme la fertilisation ou l’application de fongicides, n’attendent pas et pénalisent inévitablement les résultats attendus en termes de rendements et donc la production céréalière nationale.