Les hausses successives de la facture de l’eau et de l’assainissement ainsi que la lenteur des prestations de services de la Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (SONEDE) et de l’Office national de l’assainissement (ONAS) ont été au centre des questions évoquées lors de la session de formation organisée, mardi 13 octobre à Tunis, au profit des organisations concernées par la consommation.
Les participants ont évoqué, au cours de cette formation, tenue à l’initiative de l’Institut national de la consommation (INC), les taxes inclues dans la facture de l’eau, les différentes composantes de leur calcul et les possibilités qui s’offrent au consommateur pour comprimer le coût de la facture de l’eau et de l’assainissement et rationaliser la consommation, a indiqué un communiqué de l’INC, publié mardi.
Cette rencontre a passé en revue, selon la même source, les différentes données relatives à ce service, notamment l’abonnement aux services de l’eau et de l’assainissement, outre les statistiques portant sur les abonnés, les moyennes de la consommation et le volume de la surconsommation de l’eau potable.
L’organisation de cette session de formation s’inscrit dans le cadre des services de soutien technique, d’encadrement et de formation que l’INC offre au profit des organisations et associations concernées par la consommation.
L’Organisation de défense du consommateur (ODC), l’Union nationale de la femme, l’union nationale de l’éducation et de la famille ainsi que des représenants des administrations régionales du commerce, en plus de la SONEDE et de l’ONAS ont pris part à cette session.
