Vitrine de l’économie pour les uns, chantre du capitalisme pour les autres, le marché financier est aussi une source non négligeable de financement de l’économie de plusieurs pays. Pendant longtemps qualifié de “petit”, le marché tunisien a connu un grand engouement de la part des entreprises depuis la révolution, un engouement qui a atteint son apogée en 2013 avec 12 introductions en Bourse rien que pour cette année-là.
Toutefois, le marché financier tunisien souffre encore de plusieurs problèmes qui font frein à son développement. Le marché obligataire secondaire reste encore embryonnaire et le marché des actions souffre de problèmes de liquidité et de transparence.
Que faudrait-il faire pour améliorer la profondeur du marché? Faut-il plus d’entreprises cotées ou plus d’investisseurs avertis? Que doit-on faire pour assurer un minimum de liquidité au marché obligataire? Quelles réformes doit-on faire pour améliorer la transparence et l’intégrité du marché?
Beaucoup de questions qui seront débattues lors du “Cycle des Mardis de l’ATUGE“, mardi 11 novembre 2014 à 19h30 (Hôtel Le Concorde), et portant sur le thème : “Nouvelle Tunisie, nouvelles mesures: les réformes du marché financier” avec Fadhel ABDELKAFI, DG de Tunisie Valeurs et ex-président de la BVMT, Ahmed BEN JEMAA, fondateur et DG de Smart Finance..