“Il faut prendre en considération les indicateurs scientifiques relatifs à l’adaptation de l’agriculture aux changements climatiques”, a avancé Mounir Mejdboub, secrétaire d’Etat chargé du Développement durable.
A l’ouverture d’un atelier sur “l’élaboration des indicateurs de suivi et d’évaluation de l’adaptation de l’agriculture aux changements climatiques”, jeudi 25 décembre au parc Ennahli, il a souligné la nécessité d’élaborer des stratégies appropriées et prenant en compte la hausse des températures, l’élévation du niveau des mers, la sécheresse et les inondations.
Boubaker Houmane a souligné que des potentialités énormes et plusieurs conventions internationales peuvent servir de référence pour la mise en oeuvre de plans et projets d’adaptation de l’agriculture aux changements climatiques et pour lutter contre ses éventuels impacts aux plans national et maghrébin.
De son côté, la représentante du ministère de l’Agriculture, Sahla El Mezghenni, a évoqué, lors cette rencontre organisée à l’initiative de l’Observatoire tunisien de l’environnement et du développement durable, l’importance de la mise en place de systèmes d’alerte précoce sur la sécheresse et d’un système d’assurance climatique outre la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
A noter que l’étude relative à l’élaboration des indicateurs de l’adaptation de l’agriculture avec les changements climatiques a démarré depuis une année.
