BCE est un grand homme et derrière chaque grand homme il y a une femme, mais pour son cas, il y en a eu plus d’un million! Evidemment ça représente un poids incontournable surtout que, comme cela est rappelé dans le titre, ce que femme veut DIEU le veut. Et par ces temps où la religiosité semble secouer la planète, et faute de solution à leurs problèmes, certains pays ont trouvé dans la religion des autres la source du mal -il y a 60 ans, c’était le judaïsme et aujourd’hui l’ISLAM, DIEU seul sait si demain ce sera le bouddhisme ou une autre religion.
Je ne vais pas m’étendre sur ce sujet qui se pose d’une manière latente depuis la nuit des temps, et, d’un air désabusé, je regarde ce qui est en train d’arriver à nos ancêtres les Gaulois: les effets du CHARLIEGATE se mesurent par le bond que la popularité de leur président qui est du même ordre de grandeur du nombre de morts dans ce drame franco-français. Et cerise sur le gâteau, le Malien naturalisé va faire de telle sorte qu’il y ait un membre de plus dans la communauté musulmane dans le pays de VOLTAIRE! Je ne veux pas parler du comportement outrageant de NETANYAHOU envers un pays censé être indépendant.
Revenons à nos moutons et à ce gouvernement introuvable dans un pays qui déborde de compétences, et nous poser une série de questions:
– Est-ce que c’est un problème d’hommes ou de programmes, d’autant plus que, semble-t-il, ça se bouscule au portillon avec plus de 350 candidats-ministres?
– Dans ce cas, pourquoi ne pas utiliser la méthode de sélection utilisée par les organismes internationaux: manifestation d’intérêt, short list, termes de références, système de notation et ensuite choix de l’homme ou la femme idoine? Ce serait amusant de définir les critères de choix de l’homme qu’il faut d’autant plus que son appartenance à ENNAHDHA fait débat et ne semble en aucun cas être du goût de nos chères consœurs qui ont voté BCE!
Enfin, il faudrait peut-être finir par se demander si monter une équipe ministérielle est un acte politique ou une action socioéconomique, ou un peu de tout. Là est toute la nuance entre le comportement de l’homme politique et de la rue qui l’a soutenu, rue pour laquelle il n’y a aucune nuance: c’est oui ou c’est non; ou si on se réfère à un domaine à la mode qui est basé sur le 0 et le 1 de l’ informatique -laquelle était encore balbutiante quand BCE a démarré sa carrière politique…
Tout un programme!