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| éricains flottent devant la Bourse de New York (Photo : Spencer Platt) |
[24/03/2015 13:54:06] New York (AFP) Wall Street était en légère baisse quelques minutes après l’ouverture mardi, ne parvenant guère à se motiver après le petit regain d’inflation constaté aux Etats-Unis en février: le Dow Jones cédait 0,11% et le Nasdaq 0,04%.
Vers 13H40 GMT, l’indice vedette Dow Jones Industrial Average cédait 20,08 points à 18.095,16 points, tandis que le Nasdaq, à dominante technologique, reculait de 1,83 point à 5.009,14 points.
L’indice élargi S&P 500, très suivi par les investisseurs, reculait de 0,09%, soit 1,85 point, à 2.102,57 points.
Lundi, la Bourse de New York avait terminé une séance calme, faute de grosse actualité, sur une légère baisse: l’indice vedette Dow Jones Industrial Average avait cédé 0,06% à 18.116,04 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 0,31% à 5.010,97 points.
Mardi, les investisseurs ont appris que l’indice des prix à la consommation avait progressé de 0,2% en février par rapport à janvier, comme l’attendaient les analystes, porté par un rebond des prix énergétiques. Mais sur un an, l’inflation a été nulle en février après être tombée dans le rouge en janvier, pour la première fois depuis 2009.
“Il est trop tôt pour dire que l’inflation devient plus forte”, a commenté Jennifer Lee chez BMO. “Il n’y a pas grand chose dans tout cela pour encourager les décideurs à combattre l’inflation avec des taux d’intérêt plus élevés”, a renchéri Patrick O’Hare sur Briefing.com.
D’autres indicateurs attendus dans la matinée, notamment sur la vente de logements neufs, étaient de nature à donner plus d’indications aux investisseurs sur la santé de l’économie.
Le marché du pétrole était également en légère baisse à New York comme à Londres tandis que l’évolution du dollar et de l’euro, suivie de très près par l’ensemble des investisseurs, était elle aussi incertaine. L’euro était en légère baisse, les investisseurs s’inquiétant de la Grèce et des intentions de la Réserve fédérale américaine (Fed) sur sa politique monétaire.
