Pour ceux qui ne l’ont pas encore vu ou entendu parler d’elle, la Citroën C4 Cactus est désormais disponible en Tunisie, grâce au concessionnaire de la marque dans notre pays, AURES. Et les techniciens de la marque française ont voulu faire de la Cactus une petite voiture mais dans la peau d’une grande, en termes de technologies, de design et d’élégance.
Bassem Loukil, p-dg d’AURES, a organisé mercredi 29 avril 2015 une conférence de presse pour présenter la Citroën C4 Cactus, devant de nombreux journalistes et autres personnalités, et ce dans un lieu symbolique, en l’occurrence au Golf de Carthage à la Soukra.
Pour ce faire, la marque a délégué trois de ses représentants en Tunisie, notamment Thomas d’Aussy.
Pour commencer, le slogan de la nouvelle Citroën C4 Cactus est «la voiture qui répond aux questions d’aujourd’hui».
Pour M. D’Aussy d’expliquer, «Le monde change et les attentes des consommateurs évoluent toujours plus vite…», de ce fait l’automobile doit suivre cette tendance. Mais Citroën a opté pour une démarche on peut plus originale: la Citroën C4 Cactus est un véhicule qui n’utilise que des technologies utiles.
Il est d’ailleurs indiqué: «CITROËN propose un crossover d’un nouveau genre, décomplexé unique, suggérant liberté et optimisme, dans les usages quotidiens comme dans les usages outdoor».
En attendant le développement de notre article, sachez que la Citroën C4 Cactus a déjà obtenu une trentaine de récompenses à travers le monde. Bien évident Bassem Loukil espère «avoir la même réussite ici en Tunisie pour la CITROËN C4 CACTUS puisqu’il s’agit assurément d’une voiture unique et qui répond parfaitement aux attentes d’une clientèle tunisienne exigeante à la recherche d’un véhicule qui relie à la fois le design, le confort et la technologie».
Sachez également la marque occupe la première des ventes en Tunisie en 2014 et pour le premier trimestre 2015.
Et ce n’est pas, d’autres chiffres sont à retenir: lorsque la famille Loukil a racheté la marque en 2005, Citroën Tunisie n’occupait que 3,70% de part de marché, et 10 ans plus tard elle en a 11,6%. Cela méritait bien une gratitude de la part de Bassem Loukil, d’abord à ses troupes, mais aussi à ses partenaires financiers qui ont cru au groupe.
