Étant donné la force de la Banque et les besoins de l’Afrique, la phase suivante du Groupe de la BAD consiste à amener le développement dans tous les coins et recoins de l’Afrique grâce à une croissance partagée qui transforme la vie des populations urbaines et rurales du continent.
Si je suis élu Président, je conduirai la Banque à engendrer le développement intégré du continent, avec des effets visibles sur les populations dans les pays membres régionaux. Je mettrai à profit mes 25 ans et plus d’expérience en matière de développement international et de relations de travail étroites avec les institutions africaines, bilatérales et multilatérales de financement et de développement et les institutions philanthropiques mondiales pour orienter l’action de la Banque et mobiliser des fonds en vue de reconstituer et d’augmenter les ressources du Fonds africain de développement (FAD).
J’ai une solide expérience en matière de financement du développement. J’ai travaillé au Kenya, en Ouganda, en Tanzanie, au Mozambique, au Ghana et au Nigeria avec des ministres des Finances, des gouverneurs de Banques centrales et des PDG de banques pour concevoir et mettre en œuvre des facilités de partage des risques et des modes de financement innovant qui permettent actuellement de mobiliser près de 4 milliards de dollars auprès de banques commerciales. J’ai conçu et mis en œuvre un fonds d’actions privé innovant de 100 millions de dollars pour aider les PME au Nigeria en partenariat avec la Banque allemande de développement (KfW).
J’ai mobilisé 5,6 milliards de dollars auprès du secteur privé en faveur du Nigéria en trois ans. J’ai une solide et vaste expérience intersectorielle. J’ai de l’expérience en matière de gestion économique et financière.
Membre influent de l’équipe de gestion économique du Nigeria, j’ai participé à l’élaboration de politiques macroéconomiques, budgétaires et des investissements dans divers secteurs de l’économie, notamment l’infrastructure, l’énergie, la banque et la finance, la santé, l’éducation, l’urbanisation, les TIC, les transports, l’agriculture et les industries extractives.
Je suis un économiste du développement titulaire d’un PhD et très respecté à l’échelle mondiale, avec de solides compétences professionnelles, techniques et analytiques.
J’ai un solide bilan en matière de résultats et d’exécution de projets d’échelle. Sous ma direction en tant que ministre, mon ministère a eu un impact direct sur la vie de 15 millions de personnes en trois ans. Mon expérience à la tête d’organisations comptant plus de 7.000 agents, dont 15 grandes sociétés parapubliques, dans 36 États semi-autonomes de la plus grande économie d’Afrique m’a bien préparé pour diriger la Banque africaine de développement.
Je peux effectivement concilier les traditions du secteur public, du secteur privé et des organisations internationales pour obtenir des résultats tangibles.
J’ai une vaste expérience du développement sur le terrain en Afrique. J’ai vécu et travaillé dans 15 pays d’Afrique de l’Ouest et de l’Est et d’Afrique australe; je parle très bien le français, ayant vécu et travaillé pendant 10 ans dans plusieurs pays francophones (Niger, Mali, Côte d’Ivoire, Cameroun, Burkina Faso et Guinée). J’ai un solide bilan s’agissant de soutenir les filles et les femmes d’Afrique. Dans le cadre des activités au Nigeria, j’ai contribué à l’autonomisation de plus de 2,5 millions de femmes.
Je suis très passionné par la Banque et son activité. Si je suis élu Président, je travaillerai en étroite collaboration avec le Conseil des gouverneurs et les Administrateurs pour consolider l’héritage d’excellence de la Banque. De concert avec le personnel de la Banque et les pays membres régionaux et non régionaux, nous construirons une Banque africaine de développement plus solide et ayant plus d’impact.