Réuni, dans la soirée de mardi 2 juin à Tunis, les représentants du Quatuor au pouvoir ont plaidé en faveur d’un dialogue social national en vue de l’instauration de nouvelles relations socio-professionnelles.
L’instauration de ces nouvelles relations contribuerait à décréter une trêve sociale à même de permettre de se remettre au travail, de relancer l’investissement et de créer les richesses, selon Mohsen Hassan, à l’issue de la réunion de coordination du Quatuor, à la veille de sa rencontre avec le chef du gouvernement, Habib Essid.
Pour les quatre partis au pouvoir -composé de Nidaa Tounes, d’Ennahdha, de l’Union patriotique libre et d’Afek Tounes-, quoique que les revendications sociales soient légitimes, tous les Tunisiens doivent se remettre au travail et relancer la machine de production, à la lumière de la situation économique difficile qui prévaut dans le pays, a-t-il ajouté.