La chute de la Bourse de Shanghaï de plus de 8%, le lundi 27 juillet dernier, aurait entraîné le recul du baril du pétrole sur le marché mondial, notamment sur les marchés asiatiques, selon certains analystes. Et un analyste cité par l’Agence France Presse (AFP) souligne que «lorsque les marchés chinois plongent de la sorte, cela provoque des inquiétudes chez les investisseurs, et la chute des prix du pétrole participent de cette peur. Nous devons vraiment suivre les évolutions de cette situation».
Pour certains pays africains, le déclin des marchés financiers chinois aura des graves répercussions sur leurs économies en ce sens que «… la Chine est devenue le premier partenaire économique de la région».
En tout état de cause, «… un nouveau retour du prix du baril de pétrole en dessous des 45 dollars risque de porter un coup aux économies africaines qui dépendent fortement du pétrole, comme le Nigeria, l’Angola, l’Algérie, la Guinée Équatoriale, le Congo, le Tchad et, dans une moindre mesure, le Cameroun ou encore le Ghana», écrit nos confrères d’agenceecofin.com.