En 2015, la Tunisie a occupé le premier rang dans le monde arabe et en Afrique en Open Data et 39e dans le monde. Elle avance de six places par rapport à 2014, selon le dernier classement effectué par la World wide Fondation, devançant ainsi au passage les Emirats arabes unis (47e) et le Kenya (42e).
L’open Data (données ouvertes) est un nouveau créneau qui a pour objectif l’impulsion du développement et la création de postes d’emploi, à travers le développement de nouveaux services à valeur ajoutée qui se basent sur la réutilisation des données publiées par les services publics.
L’open data contribue également au renforcement de la transparence et de la redevabilité et lutte contre la corruption dans les structures publiques, indique un communiqué du ministère de la Fonction publique, de la gouvernance et de la lutte contre la corruption publié vendredi.
A noter que la Tunisie fait partie des premiers pays à mettre en place un portail national de l’open data et développé plusieurs sites sectoriels des données ouvertes à l’instar de celui de l’Institut national de la statistique et des ministères de l’Industrie, des finances et de l’Intérieur.