La première phase du projet de création d’une plateforme de dépôt des plaintes et de dénonciation des cas de corruption est terminée. C’est ce qu’a annoncé, mardi 26 juillet, le ministère de la Fonction publique, de la Gouvernance et de la Lutte contre la corruption dans un communiqué.
Financé par l’Agence coréenne de coopération internationale (KOICA), le projet de création de cette plateforme a démarré au début de l’année 2016.
Une séance de travail a eu lieu ce matin entre le ministre de la Fonction publique, de la Gouvernance et de la Lutte contre la corruption, Kamel Ayadi, et le groupe du travail sud-coréen en charge du pilotage de ce projet.
Cette réunion a permis de prendre connaissance de l’état d’avancement de la réalisation de cette plateforme qui, selon le communiqué, “devrait connecter le bureau des relations avec le citoyen et l’Instance nationale de lutte contre la corruption (INLCC) au système de dépôt des plaintes et de dénonciation des cas de corruption.
La deuxième phase de ce projet doit démarrer au début du mois d’octobre, a-t-on appris de même source. La réunion de la Commission mixte tuniso-coréenne, prévue pour la mi-août à Séoul, va plancher sur l’intégration de nouveaux programmes de coopération en matière d’administration électronique.
Le projet de création d’une plateforme de dépôt de plaintes et de dénonciation des cas de corruption est financé par un don sud-coréen d’une valeur de 5 millions de dollars.