C’est désormais la Tunisie qui assure la présidence du Réseau arabe pour l’intégrité et de lutte contre la corruption en remplacement du Liban. Par la suite, c’est l’Irak qui prendra le relais.
La passation s’est déroulée, mercredi 7 septembre au terme de la 5e Conférence ministérielle du Réseau, tenue les 5, 6 et 7 septembre à Tunis sur le thème “Le renforcement de la redevabilité pour promouvoir le développement durable dans la région arabe”.
A cette occasion, le nouveau ministre de la Fonction publique et de la Gouvernance, Abid Briki, a souligné la nécessité d’associer toutes les parties dans les efforts de lutte contre la corruption, notamment la société civile et les médias, eu égard à leur rôle dans la révélation des vérités.
Pour Abid Briki, le soutien du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et l’échange d’expériences des pays arabes entre eux et avec des compétences internationales (Corée, Brésil et Malaisie) sont en mesure d’appuyer les efforts des 18 pays arabes membres du Réseau de lutte contre la corruption.