Le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Khalil Amiri, a souligné, jeudi, l’importance de la coopération interarabe en matière d’usage pacifique de l’énergie atomique.
Amiri s’exprimait à la clôture du 3e Congrès arabe sur les usages pacifiques de l’énergie atomique, organisé par l’Agence Arabe de l’Energie Atomique (AAEA) en collaboration avec le Centre national des sciences et technologies atomique, du 18 au 22 décembre à Tunis.
Il a, en outre, mis l’accent sur l’impératif de trouver des partenaires internationaux dans les pays avancés dans le domaine atomique, afin de tirer profit des dernières connaissances scientifiques, au service du développement économique et social.
Ont participé à ce Congrès, selon un communiqué de l’AAEA, des scientifiques arabes et des experts travaillant en France, en Belgique, aux Etats-Unis, à l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique), à l’Institut coréen de recherches sur l’énergie atomique, à la compagnie russe Rosatom (Agence fédérale de l’énergie atomique) et à l’Institut russe de recherches sur l’énergie atomique.
Neuf conférences et 131 recherches ont été présentées lors de ce Congrès, par des spécialistes de Tunisie, Egypte, Soudan, Libye, Arabie Saoudite, Koweït, Jordanie et Palestine.
L’AAEA et l’Institut russe de recherches sur l’énergie atomique ont signé un mémorandum d’entente et de coopération dans le domaine de la recherche et développement pour l’usage pacifique de l’énergie atomique.