Je fais partie de celles et ceux qui ont toujours considéré que cette histoire de changement climatique est une invention d’experts en mal de consultance ; experts qui veulent coûte que coûte vous démontrer que ça chauffe sur cette planète et que chaque année la température monte !
Faites le calcul en équivalent pétrole : dans quelques degrés, les pays de l’OPEP ne serviront plus à rien et n’auront qu’à disparaître ! Mais la nature a ses règles, et le froid que nous subissons semble être un déni flagrant à ces fantasmes.
Prenez par exemple chez nous, c’est clair et on ne le dira pas assez, la pluie fait et fera la politique. Cent millimètres de plus, c’est tout simplement un point de plus dans l’indice de développement d’un pays avec toutes les conséquences que cela peut avoir sur l’ensemble des secteurs. Donc, pendant que certains guettaient les nimbus et les cumulus –comme dirait BRASSENS–, d’autres créent des thermomètres et des baromètres pour mesurer les millimètres de progression ou de recul des hommes politiques qui gèrent le pays souvent dans des conditions difficiles parfois inextricables. Et il se trouve des confrères pour consacrer des tribunes et des débats pour analyser les résultats de ces mesures.
C’est facile de mesurer, c’est facile de critiquer, c’est facile de proposer, mais faire et faire faire ce n’est pas une sinécure surtout quand on ne sait pas contre qui on se bat: est-ce un ennemi intérieur? Est-ce un ennemi extérieur?
Quel baromètre va mesurer les effets de la surpopulation administrative et même carcérale?
Quel baromètre va mesurer les dégâts de toute une période de tentatives de somalisation d’un pays qui résiste avec les moyens qu’il peut?
Quel baromètre va évaluer l’évolution de l’environnement géographique? Où va l’ALGERIE, où va la LIBYE?
Quel baromètre peut nous dire quid de l’EUROPE menacée aussi elle de somalisation, imaginez les effets d’un EUROEXIT?
Quel baromètre peut nous dire où va la TURQUIE, cette contrée inspiratrice de certains de nos politiciens?
Et cerise sur le gâteau, ne risque-t-il pas de se casser ce baromètre avec le retour de ces terroristes errants qui ont perdu tout repère?
FAUT-il rappeler au lecteur qu’un baromètre mesure la pression dans une unité que les spécialistes appellent le bar.
Pour conclure, je vous dirais que je serai rassurée le jour où je verrai les adeptes du gourou franchir la porte d’un … bar –sic.