Trente-et-un projets de développement durable dans les oasis de Chébika, Tamaghza et Midès ont obtenu l’accord de financement par le biais du Projet de gestion durable des systèmes oasiens.
Les projets portent sur la bonne gestion de l’eau et du sol, le renforcement de la biodiversité, la lutte biologique contre les parasites et l’amélioration des conditions de vie. Coût de chaque projet varie entre 80 mille et 90 mille dinars, selon un rapport de la Direction régionale de l’environnement du Sud saharien.
D(autres projets seront réalisés dans ce cadre, notamment, la protection des oasis contre le sanglier par l’installation de lisières et la mise en place d’un projet pilote de pollinisation artificielle du palmier.
Le Projet de gestion durable des systèmes oasiens financé par le Fonds pour l’environnement mondial œuvre à conférer, aux oasis de Chébika, Tamaghza et Midès, le label oasis biologique. En 2016, il avait financé 24 projets associatifs pour la protection de la biodiversité dans les oasis, l’embellissement des villes et l’équipement de maisons des jeunes et d’écoles rurales.