Le premier Congrès international sur le changement climatique “SOCC Huelva 2017” se tiendra du de 10 à 12 mai 2017 à Huelva en Espagne, sous la présidence d’honneur du Roi Felipe VI, avec la présence de 60 conférenciers, 30 exposants et 500 participants.
D’après une note des organisateurs, ce congrès a pour objectifs de montrer que le changement climatique a des conséquences économiques et sociales, en plus des préoccupations environnementales, créer un espace de discussion sur la mise en œuvre pratique des politiques sur le changement climatique, en analysant les outils et la technologie disponibles, créer une espace de rencontre dans la région méditerranéenne et en Amérique latine, montrer au public qu’il est essentiel d’agir maintenant pour aller vers la durabilité.
Il s’agit d’une rencontre, dont l’idée émane de la Conférence des Parties à Paris (COP 21) organisé en 2015 et au cours de laquelle, 195 Etats ont signé l’accord universel qui définit un plan d’action international visant à mettre le monde sur la bonne voie pour éviter un changement climatique dangereux, en maintenant le réchauffement planétaire largement en dessous de 2°C, selon le ministre espagnol de l’Environnement et l’Aménagement du territoire, José Fiscal.
Ce congrès, qui réunira, durant 3 jours, des représentants d’institutions scientifiques, économiques et politiques et de plusieurs ONG dans le monde en plus de participants représentant des universités, des sociétés et des associations de l’Espagne, Royaume-Uni, Canada, Etats-Unis, Mexique, Colombie et de Costa Rica, permettra de passer en revue les études et contributions de la communauté scientifique dans la mise en œuvre des politiques environnementales et leur engagement pour la défense de la nature.
Sont attendus à cette rencontre, l’ancien directeur général de l’UNESCO, Federico Mayor Zaragoza, l’activiste politique autrichien et auteur de la théorie de “l’Economie du bien commun”, Christian Felber, l’ex-présidente de la Colombie, Ernesto Samper, et la scientifique et conseillère en durabilité, Leyla Acaroglu.