Le passage par la CIDV (Commission Bouderbala) a marqué la vie de Hajer Ben Cheikh Ahmed. Ce n’est toutefois pas la raison qui l’a encouragée à s’engager politiquement.
«Depuis 2010, toute ma vie a changé. Je ne sais pas si c’est le fait de tourner la quarantaine qui a suscité cette métamorphose ou la perte de mon père. Je n’ai jamais le sentiment d’atteindre le point d’arrivée. Je veux toujours creuser plus et aller plus loin, faire d’autres découvertes et aller au fond des choses. A la Commission Bouderbala, j’avais ressenti de la frustration parce que ma soif de la vérité n’a pas été assouvie. Cela tournait à l’obsession».
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