Est-ce la réponse du berger à la bergère ? Face à la persistance de la crise qui l’oppose à l’UGTT et à une partie des employés de la Société tunisienne des industries de pneumatiques (STIP), et à la demande de ses derniers à l’Etat d’en reprendre le contrôle en convertissant tout ou partie de ses prêts de 200 millions de dinars de créances en capital, son repreneur, le groupe Dridi, envisage-t-il de dissoudre la société ?
La question se pose depuis que les actionnaires de la STIP ont été convoqués à une assemblée générale extraordinaire prévue jeudi 26 octobre 2017, au siège social de la société au Centre Urbain Nord, afin de délibérer, en particulier, sur la continuité de son activité.