En difficulté, à l’instar des autres sociétés publiques de transport, la Société de Transport du Sahel (STS) réunit ses actionnaires en assemblée générale extraordinaire pour débattre de l’éventuelle application de l’application de l’article 388 du Code des sociétés commerciales.
Cet article stipule que «si les comptes ont révélé que les fonds propres de la société sont devenus en deçà de la moitié de son capital en raison des pertes, le conseil d’administration ou le directoire doit, dans les quatre mois de l’approbation des comptes, provoquer la réunion de l’assemblée générale extraordinaire à l’effet de statuer sur la question de savoir s’il y a lieu de prononcer la dissolution de la société».