L’histoire se répète à l’infini, et si DAMAS souffre maintenant, ça ne date pas d’aujourd’hui, et les SAUL de l’époque faisaient souffrir les Chrétiens de l’époque comme le fait DAECH avec les musulmans. Tout ceci avec la complicité de tout un système socioéconomique enfanté par la guerre froide et devenu obsolète depuis que l’Asie s’est réveillée -parole de PEYREFITTE! Comme quoi, de SAUL à DAECH, le passage par DAMAS ce n’est pas une sinécure…
Malgré cette introduction empreinte d’une certaine religiosité, la géopolitique a ses principes, et notre PETIT POUCET de pays coincé entre un OCCIDENT, trop proche et on ne peut plus lointain, et un MOYEN-ORIENT doté d’une richesse méprisante et d’une pauvreté intellectuelle exaspérante, ne peut que se tourner vers cette EUROPE qui essaie de se forger une union.
Alors, depuis cette date fatidique qui a bouleversé les règles du jeu dans ces dictatures et qu’un certain 10 décembre a “bouazizé“, l’UE essaie de redéfinir les règles du jeu surtout qu’à Tunis le dérapage s’accentuait a moins de 60 Km de Lampedusa…
Ah qu’à cela ne tienne, BCE va les aider. En habile manœuvrier, il va utiliser à sa manière les tendances hégémoniques de ce monstre européen -d’autant plus qu’il se trouve embringué dans un système politique hybride où personne n’est responsable et tout le monde croit diriger.
Et compte tenu du risque d’implosion permanent, que faire d’autre que de demander, d’une manière indirecte, aux autres de mettre en évidence le dysfonctionnement du pays: pour virer AYARI, il ne peut rien faire d’autre que de passer par BRUXELLES. Ainsi, l’UE prendra l’initiative de décider de faire sonner la clochette du lépreux…
Maintenant que c’est fait et que ça a réussi, la question qui se pose d’une manière urgente c’est : par où faut-il passer pour que le gourou disparaisse à jamais du paysage politique?
Par WASHINGTON peut être? J’espère que je me TRUMP pas! Parole de tweet…