Pour la troisième année consécutive, une vague de sécheresse frappe le sud du gouvernorat du Kef, ce qui a sérieusement affecté les cultures céréalières. Les agriculteurs touchés par cette catastrophe naturelle demandent une indemnisation.
Selon Nasreddine Mouelhi, ingénieur agronome, à Garn Halfaya, les cultures ont été endommagées par le fait que les semences n’ont pas germé à temps.
Quant au chef de service de la vulgarisation et de la promotion de la production agricole au Commissariat régional au développement agricole, Béchir Mraihi, il estime que la situation est critique au sud du Kef à cause du manque de précipitations, mais se veut optimiste si les mois de mars et avril arrivaient a enregistrer quelques quantités de pluies.
A noter que les surfaces ensemencées dans la région dépassent les 50.000 hectares.