Le gouvernement Chahed semble plus convaincu de l’urgence d’un état d’urgence économique, sa feuille de route pour tenter de réanimer ce qui peut être sauvé de l’économie tunisienne prévoit, notamment, “d’importantes réformes à moyen terme, dont la modernisation de l’administration publique pour garantir, à travers des mesures administratives simplifiées destinées aux entreprises, un climat administratif développé et approprié aux affaires.
Dans ce même document, le gouvernement compte développer la gouvernance des entreprises publiques sur la base d’une approche participative.
Le gouvernement cherche désormais à mettre en place les bases nécessaires pour développer le numérique en Tunisie et faire du pays un hub et une plateforme numérique. Pour cela, il s’engage à assurer le cadre législatif, le financement, les ressources humaines et le climat idoine à même d’intensifier l’investissement dans ce secteur.
Pour Samir Majoul, «il n’y a pas de conflit avec la centrale ouvrière, nous servons les mêmes desseins car sans entreprises, il n’y aura pas de création de richesses et d’emplois, et sans force de travail, les entreprises ne peuvent pas réussir. Nous sommes dans une logique de construction d’une économie forte et compétitive et non de litiges insensés qui ne sont dans l’intérêt de personne, ni de l’entreprise ou des employés».
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