“Quel impact du changement climatique sur l’autonomisation des femmes oasiennes à Tozeur”, c’est l’intitulé d’une étude dont les résultats ont été présentés, samedi 14 courant, par l’Association la “Ruche de la citoyenneté active”.
Réalisée en collaboration avec le Forum femmes Méditerranée et le Centre de la femme arabe pour la formation et la recherche (CAWTAR), l’étude vise à identifier les programmes associatifs dans le domaine de la femme et de la lutte contre le changement climatique et à “promouvoir un développement régional plus sensible au genre et résilient aux changements climatiques”.
Le document révèle l’absence d’une approche claire de la question du changement climatique et de programmes spécifiques à la femme oasienne, souligne le président de l’association la Ruche, Salem Ben Salma, cité par l’agence TAP.
Les recommandations issues de l’étude sont axées sur la création d’unité de réflexion autour de l’implication de la femme dans la lutte contre le changement climatique et la promotion de projets dans ce sens, à l’instar de la préservation des semences locales, le développement de la biodiversité et l’adaptation des législations à la réalité oasienne.