“ZÃY” fait référence à la dernière lettre de l’alphabet arabe. “ZÃY” se veut un nouveau départ où Sabrine Jenhani, auteur-compositeur et interprète, s’embarque dans une nouvelle aventure, celle de la quête de soi.
Passionnée de musique depuis l’âge de 15 ans, et diplômée en art plastique, Sabrine Jenhani a aussi pratiqué la peinture et la gravure. En tant qu’artiste indépendante tunisienne, elle oeuvre pour la préservation et la revitalisation du patrimoine culturel tunisien, à travers des créations et des textes exclusivement écrits en dialecte tunisien “Derja”.
Kaléidoscope de cultures et d’influences, son répertoire musical s’inscrit dans un style moderne et original. Elle trouve son inspiration dans l’éclectisme de son environnement, des gens qui l’entourent et de ses expériences de vie. Sa précédente expérience avec le duo “Yuma” lui a ouvert la voie à cette nouvelle incarnation artistique.
L’écriture de ce nouveau projet solo auto-produit nommé “ZÃY”marque le début d’une nouvelle expérience musicale aux polarités multiples qui s’inscrivent dans un registre mêlant les influences folk/indé/world/alternatif imprégnées d’un timbre ethnique.
Les textes poétiques des compositions de “ZÃY”, exclusivement écrits en dialecte tunisien, trouvent leurs inspirations dans des fables, légendes, proverbes, poésie, métaphores et idiomes tunisiens. Ils sont à l’image de cette langue riche et en continuelle évolution.
Le premier single de ZÃY, “Dawitni”, écrit et composé par Sabrine Jenhani, arrangé par Cleef Mbadinga, Souhayl Guesmi alias Ratchopper, Mehdi Jalal, s’ajoute à une création d’un univers graphique en collaboration avec BLITS. Amen Llah Ouakajja, et dont le clip de la chanson a été tourné à Ain Drahem et Bni Mtir au Gouvernorat de Jendouba en collaboration avec Rabii Ben Brahim alias The Dreamer, est le fruit d’un travail collectif reflétant l’incroyable potentiel de la jeunesse tunisienne. La collaboration entre “The Dreamer”, amateur inconditionnel de la nature et des paysages tunisiens, et Sabrine Jenhani a pour fondement leur attachement à cet héritage commun. A travers “Dawitni”, les deux jeunes artistes visent à promouvoir la beauté du pays ainsi que sa richesse culturelle.