En raison des difficultés à obtenir les documents des programmes des candidats à l’élection présidentielle, pour absence de ces documents ou des difficultés à les avoir auprès des équipes de campagne, nous avons opté pour une compilation des grandes lignes des programmes et promesses de campagne sur la base des déclarations des candidats au cours de leurs campagnes.
- S’engage à établir un Etat fort, capable de protéger et de servir le peuple,
- Une justice forte et indépendante capable de lutter contre le terrorisme et le crime organisé et de mettre fin à la corruption,
- Consolidation de la diplomatie économique et préservation des relations étrangères sur la base du respect de la légalité internationale et des justes causes dont en premier lieu la cause palestinienne,
- S’engage sur le principe de neutralité objective,
- Une attention toute particulière sera accordée aux Tunisiens à l’étranger au regard de leur rôle en matière de développement.
- Éradication de la pauvreté et la lutte contre les difficultés sociales dont souffre le citoyen tunisien,
- Sécurité nationale, santé, droits sociaux, y compris le droit à l’eau considéré comme une “affaire de sécurité nationale”,
- Création d’un “Contrat social contre la pauvreté”,
- Garantir à long terme, santé, éducation, alimentation, logement et eau.
- Veiller à l’application de la loi et lutter contre le chaos,
- La République doit jouer un rôle majeur dans la construction de l’avenir du pays et dans la lutte contre la criminalité,
- Promouvoir le secteur agricole et les ressources hydriques ainsi que le tourisme, accusant le gouvernement actuel d’”amateurisme” et de “mauvaise gestion”,
- Amélioration du niveau de vie et du pouvoir d’achat,
- Consacrer la culture de l’Etat et à mettre fin aux rivalités entre les institutions de l’Etat constatées, au niveau des deux têtes de l’Exécutif,
- Réhabiliter la culture de créativité, soutenir les artistes et les créateurs et développer le cadre législatif y afférant,
- Préserver les constantes de la politique nationale consistant en la sécurité et la diplomatie nationale. Il a ajouté qu’une importance particulière sera accordée à la diplomatie économique, financière et technique,
- Entreprendre une série de réformes dans le domaine de l’administration, particulièrement,
- Tabler sur un million de jeunes promoteurs, à travers l’encouragement de l’initiative privée.
- Trouver des solutions la rareté des ressources en eau,
- Relancer l’agriculture
- Sédentariser les jeunes dans les terres domaniales et les aider à créer leurs projets
- la Tunisie doit rester souveraine, la Tunisie appartient aujourd’hui aux Tunisien et non aux étrangers
- Le président de la République doit attirer l’attention sur des questions comme l’énergie, la pénurie d’eau, la dégradation de la situation environnementale, la propagation du crime, la sécurité cybernétique…
- La Tunisie doit ouvrir davantage d’ambassades en Afrique, affirmant qu’en cas de victoire, il œuvrera, dans une première étape à la conclusion d’accords bilatéraux avec les pays du voisinage en s’inspirant de l’expérience européenne d’avant la deuxième guerre mondiale qui a conduit à l’édification d’une Union européenne,
- Respect des libertés individuelles et publiques. Il estime que la loi ne doit pas être appliquée aux dépens de la dignité et de l’intégrité physique des citoyens. l’homosexualité est un choix personnel.
- Edification d’institutions “fortes et efficaces”
- Consolider le processus de l’Etat démocratique, opter pour la primauté de la loi et le respect des libertés et rompre définitivement avec la dictature,
- Lutter contre la corruption et instituer une justice intègre qui ne doit pas être instrumentalisée en politique,
- S’atteler à l’amélioration des conditions de vie des citoyens et accorder un intérêt plus accru aux préoccupations des jeunes. Car, a-t-il soutenu, “la mort des Nations” a lieu lorsque les jeunes sont désespérés.
- Promouvoir davantage les différents gouvernorats de la république,
- Discrimination positive inscrit dans la nouvelle Constitution tunisienne ne devrait pas être au détriment de certains gouvernorats,
- Mettre en application un programme réaliste comportant 45 points comportant des solutions à tous les problèmes,
- Une Tunisie plus forte, une Tunisie plus moderne et plus développée,
- Assurer une stabilité sécuritaire et sociale,
- Diversifier l’économie, faciliter l’accès à l’eau potable et d’irrigation, revaloriser les terres agricoles, mettre en place un climat adéquat à l’investissement et encourager les jeunes entrepreneurs,
- Lever les obstacles entravant la réalisation du développement,
- Octroi de terrains agricoles au profit de jeunes sans emploi pour une insertion professionnelle.
- Former “un gouvernement composée de compétences sans frères musulmans et sans recourir aux quotas partisans”,
- Lancement d’une initiative législative pour changer la constitution et le régime politique et les remplacer par un système qui met fin à la dispersion des centres de décision et à la politique de consensus,
- Mettre en place une diplomatie active et efficace, afin d’ouvrir des perspectives prometteuses et instaurer une politique sécuritaire permettant de préserver la stabilité du pays et d’améliorer son image, pour qu’il soit attractif pour l’investissement extérieur,
- Rectification des orientations erronées adoptées par les anciens gouvernements, avec le rétablissement des relations avec les pays frères, l’impulsion de la diplomatie économique et le renforcement de l’économie national, et faire sortir le pays des listes noires et ouvrir de nouveaux marchés au profit des jeunes promoteurs,
- Création d’un conseil supérieur de la diplomatie économique qui sera présidé par le chef de l’Etat,
- Mon programme fera de la Tunisie une destination attractive pour les investisseurs,
- Renforcement de la sécurité nationale pour faire de la Tunisie un pays stable et une destination attractive à l’investissement étranger et aux grands projets,
- Booster l’emploi, créer de la richesse et réduire le taux d’endettement,
- Une diplomatie qui prône la légitimité internationale, le rétablissement des relations avec la Syrie et l’impulsion de la diplomatie économique avec les Etats Africains, la Libye et l’Algérie.
- Servira les intérêts du pays, défendra sa constitution, son drapeau, l’indépendance de son administration et de sa justice,
- Création d’un climat propice à la création de richesses et à l’épanouissement de la créativité, et non pas celui qui sert de paravent aux centres d’influence”,
- S’engage à ne pas toucher à la constitution et à faire primer la loi,
- Rompre avec le laxisme des hautes sphères du pouvoir et de certains politiciens corrompus et populistes qui ont porté atteinte aux intérêts du pays,
- Coordination entre le Président de la République et le chef du gouvernement, ainsi que la mise en place d’un tribunal constitutionnel constituent les priorités de son programme électoral,
- Coopérer totalement avec n’importe quelle partie élue majoritairement au parlement,
- Garantir l’indépendance du pouvoir judiciaire,
- Mettre fin au laxisme qui sévit dans le pays, surtout en ce qui concerne la main mise des partis politiques sur l’appareil de renseignement et leur ingérence dans les affaires du ministère de l’intérieur,
- En finir avec la corruption au niveau du pouvoir,
- Mise en place d’une stratégie pour lutter contre le terrorisme,
- Développement des zones frontalières, soulignant dans ce sens qu’il va appliquer le principe de la discrimination positive et attirer les investissements,
- S’engage à poursuivre le soutien de la Tunisie à la Libye et à jouer le rôle d’un médiateur actif capable de rapprocher les points de vue entre les factions libyennes,
- Conclusion d’un accord avec le chef du gouvernement qu’il annoncera devant l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP),
- Promet de définir sa politique en matière de défense nationale, de sécurité et de politique étrangère et d’en informer le parlement,
- Placer la Cour Constitutionnelle dans ses priorités,
- Garantir la bonne gestion des ressources humaines, notamment, au niveau des ministères de la défense nationale et des affaires étrangères, en choisissant des ministres, des ambassadeurs et des conseillers sur la base de la compétence, sans lien avec l’appartenance partisane, comme ce fut le cas après la Révolution, ce qui avait nui à la diplomatie tunisienne,
- Plaider en faveur de la mise en place d’un Etat fort et juste, qui applique la loi à tous et qu’il ne soit pas soumis aux lobbys de la corruption, estimant que les gouvernements qui se sont succédé étaient faibles et incapables d’appliquer la loi,
- Veiller au respect de la Constitution et à la protection de l’unité et des droits de la population,
- Soutenir tout effort par le gouvernement dans la lutte contre la pauvreté et le chômage.
- Le dossier social parmi mes priorités,
- Promotion des secteurs de la santé et de l’éducation,
- Fournir la couverture sociale aux citoyens ainsi que les commodités nécessaires, à savoir l’eau potable, l’électricité et le droit à un environnement sain,
- Une nouvelle vision en matière de gouvernance et développement,
- Renforcer les acquis de la femme,
- Lutter contre la corruption,
- Instaurer une nouvelle stratégie dans le domaine de sécurité afin d’éradiquer le terrorisme,
- Défendre toutes les justes causes dans le monde dont en premier la cause palestinienne.
- Priorité au développement de l’emploi,
- Prendre des initiatives législatives dans le cadre des prérogatives dont bénéficie le président de la république,
- Attirer, dans le cadre de la diplomatie économique et de la sécurité nationale, des investissement dans toutes les régions,
- Encourager l’investissement des tunisiens à l’étranger,
- Combattre le terrorisme et le crime organisée, la lutte contre le favoritisme et la corruption et le changement du système de gouvernance pour unifier le centre de décision,
- S’occuper des personnes aux besoins spécifiques et appeler à une réconciliation globale politique, sociale, fiscale et financière,
- Ouvrer à la préservation de la sécurité et au développement économique du pays,
- Sécurité nationale, mais également sécurité alimentaire, santé, environnement et lutte contre la criminalité,
- Promouvoir la diplomatie économique, offrir un climat adéquat à l’investissement, à la création de richesse et à la préservation du pouvoir d’achat du citoyen menacé d’effondrement,
- Poursuite de la lutte contre le terrorisme, le crime organisé, la corruption et le népotisme,
- Rapprocher les points de vue entre les deux belligérants de la crise en Libye, tout en se gardant de toute ingérence.
- Une initiative législative pour moraliser la vie publique, compte tenu de la crise morale et de confiance que traverse le pays
- Couper la route à l’argent sale destiné aux partis politiques et aux associations,
- Faire preuve d’audace dans la prise de décisions et d’initiatives politiques, sociales et législatives, à même d’aider le pouvoir exécutif à répondre aux besoins des citoyens, en ce qui concerne la lutte contre le terrorisme, la violence et la préservation de l’environnement et de la sécurité économique et alimentaire,
- Instaurer les bases d’une diplomatie économique qui prend en compte la position de la Tunisie au sein du Maghreb et faire évoluer la diplomatie classique vers une diplomatie économique proactive,
- Rétablir les relations diplomatiques avec la Syrie,
- S’engage à jouer un rôle efficace dans la réforme globale dont la Tunisie a besoin,
- Mettre la sécurité nationale au centre des prérogatives du président de la République,
- Impulsion de la coopération à l’échelle locale et internationale,
- Soutenir la gouvernance locale et faire preuve de courage dans le processus de décentralisation, dans le cadre d’une “vision positive qui consacre la solidarité, la complémentarité entre les régions et l’unité de la patrie”.
- Création du tribunal constitutionnel, chargé de mettre en œuvre les acquis de la constitution,
- Création d’une agence nationale de renseignements, sous la tutelle du conseil de sécurité national, pour lutter contre le terrorisme,
- Garantir la dignité du citoyen et son droit à la santé, à l’éducation et au développement,
- La Tunisie mérite d’être pionnière parmi les autres Etats grâce à des relations diplomates savamment tissées,
- La Tunisie, un portail pour les investissements extérieurs,
- Attirer les organisations et instances régionales et internationales et renforcer le rayonnement de la Tunisie à l’étranger,
- Garantir le droit du citoyen à une vie décente,
- Garantir une éducation publique de haut niveau, permettant d’ouvrir de nouvelles perspectives nationales et internationales devant les établissements d’enseignement et les universités,
- Garantir un système de santé publique efficace,
- Garantir une administration moderne basée sur la numérisation des services et des transactions, et gérée sur la base de la compétence et non pas l’ancienneté,
- Mettre en place une stratégie à long terme pour lutter contre la pauvreté et la marginalisation, et garantir une distribution équitable de la richesse,
- Un Plan national de sécurité pour la jeunesse ciblerant les jeunes âgés de 15 à 29 ans, estimés à environ un million de jeunes hommes et femmes, afin de leur proposer des emplois, de les intégrer à la vie active et de leur inculquer une culture du travail et de l’amour de la Patrie,
- Abolir la peine de prison pour les consommateurs de cannabis et l’examen anal, en tant que pratiques relevant des libertés individuelles.
- Bien gérer les institutions de l’Etat et la diplomatie et préserver la souveraineté du pays pour davantage de progrès,
- Se déplacer dans tous les gouvernorats afin d’être à l’écoute des habitants, d’accorder aux compétences régionales la place qu’elles méritent et de tirer profit de leurs potentiels,
- Mise en place d’une politique décentralisée qui sera placé sous le slogan, ‘l’issue serait dans les régions’”,
- Gouvernance locale,
- Révision du système d’enseignement et retour vers l’enseignement technique dans les écoles de métiers,
- La défense des droits des personnes aux besoins spécifiques et des femmes, notamment la femme rurale”.
- S’engage à préserver les richesses du pays garantes de la souveraineté national, dévoiler toute la vérité au peuple sur ces ressources tout en œuvrant à les exploiter dans les meilleures conditions,
- Réviser les accords mixtes avec l’Union européenne qui ne sont pas équitables dans le sens de l’identification de nouveaux accords garantissant la souveraineté de l’Etat,
- Arrêter les négociations portant sur l’accord de libre-échange complet et approfondi (ALECA),
- Audit de la dette à travers une grande campagne diplomatique à laquelle le peuple sera mobilisé,
- Interdire la présence de bases militaires étrangères sur le territoire tunisien,
- Souveraineté numérique et contrôle des données personnelles est une ligne rouge à ne pas franchir,
- Redonner la souveraineté au peuple afin de construire une démocratie forte,
- Sécurité alimentaire, eau, énergie,
- Mise en place d’un “noyau d’industrialisation militaire et de repositionnement de la Tunisie aux niveaux régional et international, ainsi que la diversification des relations internationales au service des intérêts nationaux,
- Renforcer les relations avec l’Algérie et intervenir efficacement afin de résoudre le problème en Libye et rétablir les relations diplomatiques avec la Syrie,
- Criminalisation de la normalisation avec l’entité sioniste,
- Nationalisation des richesses du pays.
- S’engage à renforcer les capacités de l’armée nationale “dans la limite des moyens disponibles”,
- Encourager l’usage des équipements modernes pour le contrôle des frontières,
- Améliorer les conditions sociales de l’armée nationale,
- Renforcer les relations de coopération de la Tunisie avec l’Algérie et la Libye afin d'”unifier les efforts en matière de lutte contre le terrorisme”,
- Préserver la souveraineté nationale et les principes de la révolution,
- Proposer des projets de loi visant notamment à mettre un terme à toute forme de blocage de la production,
- Respecter la souveraineté de décision et renforcer les partenariats avec tous les pays,
- La consolidation de la coopération avec les pays maghrébins et africains,
- Neutralité positive de la diplomatie tunisienne,
- Raffermir les liens avec la communauté tunisienne établie à l’étranger,
- Accorder une importance toute particulaire à la diplomatie économique,
- La sécurité, la Défense et les initiatives législatives relatives à la femme et à la jeunesse constituent des priorités dans son programme électoral,
- La protection des frontières, la lutte contre la contrebande et le terrorisme,
- Instauration de la sécurité nationale globale qui comprend la sécurité économique, environnementale et énergétique.
- Œuvrer à réaliser l’essor et le progrès de la Tunisie et à y assurer la dignité, la sécurité hydrique et la santé pour tous
- L’enseignement ainsi que la culture seront des facteurs de développement,
- La vie dans un environnement sain figure parmi les principaux droits du citoyen ,
- Amélioration des conditions économiques et sociales grâce à la préservation des richesses nationales et la transparence de leur gestion afin de garantir les droits des générations futures,
- Une stratégie nationale cohérente de lutte contre le terrorisme à dimensions militaires, sécuritaires, sociales, culturelles et éducatives sera mise en place,
- Dévoiler les vérités sur les dossiers des crimes commis, l’envoi des jeunes vers les zones de conflits et l’appareil secret, en plus de la reddition des personnes mises en cause,
- Mettre en oeuvre tous les mécanismes constitutionnels mis à la disposition du Chef de l’Etat, telles que les initiatives législatives, la présidence des conseils ministériels, l’appel aux référendums en cas de nécessité et la représentation de l’Etat, conformément à l’intérêt suprême de la Nation et du peuple,
- Rétablissement des relations avec la Syrie
- Instauration d’une diplomatie économique qui, moyennant une équipe compétente, s’emploiera à attirer les investissements extérieurs, à renforcer les exportations et à ouvrir de nouveaux marchés,
- Garantir l’unité du pays, le caractère civil de l’Etat et les droits et libertés.
- Préserver les droits économiques et sociaux, tels qu’énoncés dans la Constitution tunisienne,
- Le droit au travail,en encourageant une économie générant des emplois en particulier pour les jeunes au chômage, la question de l’emploi, insiste-t-il, relève de la sécurité nationale dès lors que les milliers de jeunes chômeurs rejoignent les rangs des désespérés, ce qui peut donner lieu à une explosion sociale,
- Mettre en place la Cour constitutionnelle,
- Instituer une loi portant sur la sécurité alimentaire et hydrique,
- Mise en place d’une stratégie nationale visant à circonscrire la prolifération du crime en tenant compte des aspects sociaux éducatifs.
- Appliquer la loi à tous, riches ou pauvres, et avec la même fermeté,
- Juger ceux qui ont spolié l’argent et les richesses du pays,
- Propose un modèle économique nouveau basé sur une politique protectionniste intelligente, en appliquant un impôt social sur la valeur ajoutée pour résoudre les problèmes de l’emploi, des caisses sociales, de la monnaie tunisienne et de l’inflation,
- L’économie nationale doit recouvrer sa vitalité pour que la Tunisie puisse imposer sa souveraineté sur son sol. Pour lui, l’économie parallèle est dominée par des lobbies qui infiltrent tous les rouages de l’Etat,
- Poursuivre tous ceux qui sont impliqués dans la contrebande et à mettre fin à ce trafic,
- Nationaliser les richesses et annuler les contrats signés, depuis la colonisation, et ceux conclus, pendant la dictature.
- Changer le pouvoir, mettre le pays sur les rails et fermer la parenthèse des cinq dernières années
- Se débarrasser des opportunistes et réhabiliter le courant révolutionnaire,
- Relancer les grands projets
- Récupérer les fonds spoliés,
- Mobilisation des ressources hydriques
- Promet de faire en sorte que le mandat 2019-2024 soit un mandat de “l’essor économique et social”.
- Priorité absolue, la lutte contre la corruption et les corrompus
- Rétablir la paix en Libye et impulser le processus de l’Union maghrébine figurent aussi parmi ses priorités.
- Lutter contre les menaces des changements climatiques et particulièrement ceux liés aux ressources en eau, aux graines et à la désertification
- Traitement des questions sociales et éducatives,
- Lutte contre toutes les formes de criminalité et de corruption,
- S’engage à baisser son salaire mensuel, ainsi que le budget général de la présidence de la république à hauteur de 30%,
- La nomination d’un spécialiste à la tête du ministère de la défense,
- Le déblocage de la crise libyenne,
- Annulation de l’usage du passeport entre la Tunisie et l’Algérie,
- Réhabiliter les relations diplomatiques avec la Syrie,
- orienter les emprunts dans des projets de développement au profit des régions,
- Prendre des initiatives législatives,
- Lutte contre le crime, en particulier les crimes transfrontaliers et la lutte contre la corruption,
- Lutte contre la pauvreté,
- La réduction du chômage,
- La promotion des services éducatifs et de santé,
- Développer l’Institut national des études stratégiques,
- Tenir l’institution militaire à l’écart des tiraillements politiques,
- Révéler la vérité sur les dossiers d’assassinats politiques,
- Accorder toute l’importance requise au dossier des martyrs et blessés de la révolution et ceux des institutions militaires et sécuritaires.
- Renégocier l’ALECA d’égal à égal avec l’Union européenne,
- Lutter contre toute tentative de miner la démocratie, les richesses du pays, son agriculture et son économie,
- Préserver une Tunisie souveraine et au dessus de tous et que la démocratie est une richesse nationale qu’il convient de préserver et de développer,
- Ouvrir les dossiers des assassinats politiques et ceux relatifs à la corruption dans les domaines des télécommunications, du tourisme, du pétrole et du Gaz,
- Restitution des fonds spoliés, la récupération des richesses nationales et la révision de sa politique en matière de tourisme et de sécurité nationale,
- Trouver des alternatives à la migration irrégulière des jeunes,
- Une stratégie globale comportant 36 points et portant sur la culture, la pensée, la planification, l’économie, la diplomatie, le développement social et l’amélioration des conditions des forces armées et sécuritaires.
- Réviser le système politique, “principale condition pour engager de grandes réformes”,
- Revoir les méthodes d’enseignement et de formation du fait, a-t-il expliqué, que 100 mille élèves par an interrompent leurs études.
- Protéger le tissu social et industriel et de combattre la pauvreté, précisant que 32% des Tunisiens souffrent de sous-alimentation et plus de 15% vivent sous le seuil de la pauvreté,
- Protéger l’agriculture et interdire l’importation d’engrais ainsi qu’à revoir l’endettement et le modèle de développement en comptant sur les ressources naturelles du pays.
- La priorité sera accordée au développement de l’économie,
- Œuvrer à la mobilisation de toutes les forces en vue d’impulser l’investissement et l’emploi, tout en veillant à consacrer la décentralisation,
- Priorités au développement, à l’emploi, au traitement des crises, à la gouvernance locale, à la jeunesse, à l’égalité, à l’agriculture et aux droits de la femme rurale,
- Transfert des technologies modernes, du renforcement de l’économie de savoir et de la préservation des richesses nationales et des institutions publiques.
- Transférer la capitale de la Tunisie à Kairouan,
- Partenariat économique gagnant-gagnant avec les pays voisins de la Tunisie,
- Suppression des dettes de 180 mille agriculteurs,
- Subventionner les semences, médicaments et engrais pour soutenir les agriculteurs et réaliser la sécurité alimentaire,
- Intégrer 500 mille jeunes au marché de travail en leur octroyant une allocation mensuelle de 200 dinars en contre partie d’une formation,
- Garantir les droits des retraités, des personnes privées de couverture sociale, des démunies et des catégories à besoin spécifiques.
- Création d’un fonds souverain,
- Création du poste Consul économique,
- Faire de la Tunisie le Singapour de l’Afrique.
- Garantir l’exécution des projets publics,
- Combattre la bureaucratie administrative,
- Un Etat devant capable d’appliquer la loi avec équité loin de toute forme de népotisme,
- Création de richesses, réduction du chômage et diversification des activités économiques,
- Adapter le système de gouvernance locale,
- Mise en place d’une vision équitable entre les régions,
- Changer le système politique afin de renforcer les attributions conférées au président de la République,
- Garantir la sécurité et la promotion de la culture et de la science,
- Réhabilitation de la diplomatie tunisienne afin qu’elle puisse retrouver son rayonnement international “affaibli après la révolution”,
- Consacrer la souveraineté de l’Etat et la primauté du droit et garantir une vie digne à tous les citoyens tunisiens dans les différentes régions,
- Renforcer la sécurité globale, réformer l’administration et instaurer une justice fiscale.
- Rendre la prise de décision politique, souveraine,
- La France doit arrêter de piller les richesses du pays, dont le sel,
- Le droit de bénéficier de centres de loisirs destinés aux jeunes,
- Développement de l’infrastructure industrielle et culturelle, à travers la création d’un festival de l’intelligence technologique,
- Accorder aux régions intérieures l’importance nécessaire étant donné les richesses qu’elles comportent.
- Présenter une initiative législative imposant un impôt sur la fortune,
- La Tunisie est un paradis fiscal soutenu par l’inégalité fiscale entre les employés dont les revenus sont imposables et les hommes d’affaires et investisseurs qui payent de faibles impôts,
- Propose un impôt sur la fortune de 2,5% applicable sur les patrimoines d’une valeur supérieure à 25 millions de dinars, il propose la redistribution de ces revenus au profit des familles démunies (environ 250 000 familles en Tunisie),
- Défendre et renforcer le pouvoir d’achat des Tunisiens, en permettant, en premier lieu, à chaque Tunisien d’acquérir sa voiture sans passer par les concessionnaires, en plus de la suppression du monopole dans ce domaine,
- Augmentation du prix du pain (baguette) à 240 millimes (contre 190 millimes actuellement), afin d’économiser environ 2 millions de dinars au profit du Trésor public et les répartir dans le cadre d’actions sociales,
- Accélération de la mise en place de la Cour constitutionnelle, à travers un tirage au sort parmi 120 professeurs de droit constitutionnel à l’université tunisienne et en sélectionnant quatre d’entre eux, a indiqué Boulabiar précisant, qu’une fois élu, il demanderait également au Conseil supérieur de la Magistrature d’accélérer le processus de choix des autres membres,
- Création d’un fonds social destiné aux femmes divorcées,
- Renforcer la diplomatie économique, attiré entre 3 et 4 milliards de dinars sous forme d’investissements étrangers venant de l’Arabie saoudite, d’Abou Dhabi et du Koweït. S’il échoue, il quittera le palais de Carthage, a-t-il affirmé,