Madrid, la capitale espagnole, remplace Santiago de Chili, pour accueillir les négociations de la Conférence internationale sur le climat (COP25), prévue du 2 au 13 décembre. Le Chili est en proie à des manifestations contre la vie chère…
En effet, le gouvernement espagnol a proposé, jeudi 31 octobre, de tenir dans sa capitale le sommet, qui accueille, également, des milliers de diplomates, hommes politiques, journalistes et hommes d’affaires de l’ONU, pour discuter et trouver les solutions en vue de sauver la planète, victime du réchauffement climatique.
La nouvelle a été annoncée, vendredi 1er novembre sur Twitter, par le président de la Cop24, tenue en Pologne, Michal Kurtyka.
La ministre chilienne de l’Environnement, Carolina Schmidt, qui restera présidente de la Cop25 malgré le changement de lieu, a déclaré que le changement climatique à l’ONU avait confirmé la nouvelle.
La décision de changer de lieu de travail revient en définitive au bureau de la Conférence des parties aux Nations unies, un panel de 12 diplomates spécialistes du climat, issus du monde entier et présidé par Kurtyka. Ils se sont rencontrés vendredi et ont accepté l’offre de l’Espagne.