La première édition du Salon des industries culturelles et créatives dédié aux jeunes promoteurs et startuppers a été ouvert ses portes à la Cité de la culture.
Des partenaires publics et privés, experts et jeunes entrepreneurs et investisseurs prennent part à ce rendez-vous organisé les 29, 30 et 31 janvier 2020. Le hall central de la Cité a abrité les stands des participants qui appartiennent à des institutions bancaires et des écoles d’enseignement supérieur de l’audiovisuel en plus d’autres organismes relevant du ministère des Affaires Culturelles.
La cérémonie d’ouverture, a été marquée par la présence de Mohamed Zinelabidine, ministre des Affaires culturelles, en plus de créateurs et membres d’institutions intéressés par les industries culturelles. Le ministre a donné le coup d’envoi du Salon depuis le théâtre des jeunes créateurs où se tenaient deux panels de discussions autour de “L’écosystème des Industries culturelles créatives en Tunisie” et “l’Investissement culturel: incitation, mécanismes, soutien, cadre juridique…”.
“La Tunisie possède un potentiel considérable dans le domaine du numérique, une richesse inestimable qui doit être gérée de la manière la plus rationnelle avec des programmes stratégiques et des fonds adaptés”, a déclaré le ministre à l’ouverture des Panels.
Au cours de cette journée inaugurale, il y eu également des workshops sur des thèmes comme la “Robotique”, “Stop motion” et “Initiation au développement des jeux-vidéo” outre l’inauguration d’une exposition.
Le Salon des industries créatives s’inscrit au cœur des programmes culturels stratégiques orientés vers les nouvelles technologies, les industries créatives et l’économie culturelle numérique. Il constitue une importante vitrine qui offre aux promoteurs culturels porteurs d’idées novatrices, l’occasion d’échanger avec les professionnels et les experts dans le domaine culturel.
Ce Salon vise une meilleure optique partenariale et optimisation de l’employabilité dans le secteur des industries créatives. Il est organisé en partenariat entre le ministère des Affaires culturelles et le Centre International de Tunis pour l’économie culturelle numérique (TICDCE).