Selon Mohamed Msilini, ancien ministre du commerce, l’Etat est débiteur de près de 7 milliards de dinars tunisiens à ses entreprises publiques et que l’enregistrement d’un taux de croissance de 4% est difficilement réalisable pour le moment. “Il faut procéder à la restructuration de toutes les entreprises publiques”, a-t-il suggéré, précisant que ces entreprises sinistrées sont les victimes de l’absence d’une vision ou d’une approche claire de réforme.

Il ajouté lors de son intervention sur radio ExpressFM que pour éviter l’effondrement de ces entreprises il faut trouver d’urgence des solutions de sauvetage.