L’Union tunisienne des professions libérales (UTPL) estime nécessaire d’impliquer les différentes compétences présentes au sein de son organisation et de les considérer comme des acteurs actifs au sein de l’Etat afin de mettre en place un nouveau modèle de développent basé sur l’économie du savoir.
Intervenant lors de la 4ème réunion annuelle de l’Union tunisienne des professions libérales sur le thème “Pour une économie basée sur les compétences”, son président, Anis Aissa, a souligné que cette structure regroupe des compétences représentant sept professions (avocats, experts-comptables, comptables, ingénieurs, architectes, dentistes et médecins libres).
Pour Aissa, ceux-ci peuvent être la locomotive sur laquelle l’Etat peut parier afin de développer la production et la productivité.
Jusqu’à aujourd’hui, ces différentes compétences n’ont pas été placées au premier rang des professions capables de mettre les bases d’une économie du savoir et d’un modèle de développement sain.
D’autre part, Aissa indique que l’investissement dans les ressources humaines tunisiennes, le développement de la réalité environnementale et toutes les activités liées à l’économie verte, en mettant l’accent sur l’innovation et la numérisation sont parmi les principaux axes sur lesquels repose l’économie du savoir.