Le docteur en psychologie du sport, Noureddine Boufalgha a souligné que la relation de l’entraîneur avec le journaliste doit être basée sur le respect mutuel mettant l’accent sur l’importance de la conférence de presse afin de protéger les deux parties.
Boufelgha qui occupe également le poste d’entraîneur et de membre du staff technique de la sélection des Emirats arabes unis de football, s’exprimait dans un post publié à l’occasion de la journée mondiale de liberté de la presse.
“Le respect mutuel doit être à la base de la relation entre l’entraîneur et le journaliste. Ce dernier est à la recherche d’informations et l’entraîneur est tenu de répondre aux questions posées”, a-t-il écrit ajoutant que cette opération doit être organisée dans le cadre de conférences de presse.
“L’entraîneur est obligé d’assister à ces conférences afin que ses propos soient protégés sans qu’on ne lui attribue des déclarations qui ne lui appartiennent pas, et le journaliste trouve l’information complète et il peut transmettre fidèlement tous ce qu’il a enregistré”, a-t-il expliqué.
Il a noté à ce propos que la FIFA donne beaucoup d’importance à l’organisation des conférences de presse et oblige les clubs et les équipes à les tenir à chaque occasion.
“Personnellement, j’ai une relation distinguée avec la presse et les journalistes, à vrai dire le métier de journaliste m’attire. C’est un métier difficile comme celui de l’entraineur”, a-t-il jouté.
Il es à noter que Noureddine Boufalgha avait entrainé plusieurs équipes en Tunisie, aux Emirats, en Arabie Saoudite et à Oman. Il a également eu des expériences au sein des centres de formation des jeunes de l’Espérance Tunis et du Paris Saint-Germain.
Il a travaillé comme détecteur de nouveaux talents résidant à l’étranger en coopération avec le ministère de de la jeunesse et des sports et la Fédération tunisienne de football.
