De nombreux pays et groupes de pays en développement et développés ont souligné le besoin de simplifier et d’accélérer les processus d’accréditation et de ré-accréditation du Fonds Vert pour le Climat (FVC), selon le Earth Negociations Bulletin.
L’UE, soutenue par la Suisse s’exprimant au nom du Groupe d’intégrité environnementale (GIE), a mis en garde contre une micro-gestion du Conseil du FVC.
La BOLIVIE a plaidé pour un guichet dédié aux actions concertées d’atténuation et d’adaptation, ainsi que pour une accréditation directe et facilitée des entités nationales “expérimentées”, comme les banques de développement.
Appel au lancement d’une initiative mondiale d’annulation de la dette au profit des pays en développement.
Dans le cadre des discussions ministérielles lors de la COP27, des ministres ont suggéré le lancement d’une initiative mondiale d’annulation de la dette pour libérer le potentiel fiscal dans les pays en développement. Ils ont appelé, entre autres, à la fixation d’un objectif quantitatif reflétant l’échelle des financements requis pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris et l’élargissement de la base des contributeurs pour inclure tous ceux qui sont en mesure de contribuer.
Ils ont appelé aussi à soutenir davantage les pays les moins avancés et les petits Etats insulaires en développement et à atténuer les risques d’investissement pour accroître l’accès des pays en développement aux capitaux privés