Les candidatures sont ouvertes pour participer au programme ” Accès Culture ” pour la période 2023-2026, a annoncé l’Institut Français de Tunisie (IFT). C’est un programme financé par l’Institut français (IF) et l’Agence française de développement (AFD).
Selon des données publiées sur le site de l’Institut Français, la Tunisie est parmi les pays bénéficiaires des éditions précédentes de ce programme avec trois projets culturels retenus entre 2020 et 2022.
“Accès Culture” a pour objectif d’accompagner et de financer des projets culturels afin de favoriser le lien social et renforcer les collaborations entre acteurs culturels africains et français.
Il s’adresse aux Organisations de la Société Civile (OSC) et aux établissements culturels des collectivités territoriales (conservatoire, école d’art municipale, etc.) qui porteront en binôme un projet proposant de répondre à un besoin local.
L’appel à candidature est ouvert depuis le 24 février et la date limite de dépôt des candidatures est fixée au 16 avril prochain. L’annonce des projets lauréats est prévue pour la mi-juin 2023.
Pour en savoir plus sur ce programme, les candidats peuvent consultez l’appel à projets en cliquant sur le lien suivant :https://www.institutfrancais.com/sites/default/files/medias/documents/fr_appel_a_projets_ac_2023.pdf
Les lauréats finaux se verront attribuer une bourse comprise entre 60 et 75 mille euros sur trois ans. Le montant de la bourse constituera au maximum la moitié du budget total du projet du lauréat, qui devra apporter à minima l’autre moitié sur fonds propres ou extérieurs.
Les projets éligibles doivent être des projets de coopération culturelle proposant des activités tournées vers le public dans une dynamique de médiation culturelle (sensibilisation et éducation artistique ; initiation à une pratique artistique ; mise en place de rencontres artistiques…).
Les projets doivent avoir une durée de 3 ans maximum et s’inscrire dans un objectif de renforcement du lien social, en Afrique, en proposant une offre culturelle à destination des publics qui en sont le plus éloignés, pour des raisons sociales, économiques, culturelles, géographiques, de genre ou encore de handicap.