La ministre de la Famille, de la femme, de l’enfance et des personnes âgées, Amel Bel Haj Moussa, a examiné mardi avec la secrétaire générale du comité national jordanien chargé des affaires de la femme, Maha Ali, les moyens de consolider la coopération bilatérale et d’échanger les expériences portant sur les programmes destinés à la famille et à la femme.
Les deux parties ont convenu, lors de cet entretien tenu en marge des travaux du congrès régional sur “la participation économique de la femme dans le monde arabe : perspectives et défis”, les 26 et 27 septembre dans la capitale jordanienne Amman, d’échanger les résultats des deux études en cours de réalisation en Tunisie et en Jordanie, portant sur le coût économique de la violence perpétrée à l’encontre de la femme.
Selon un communiqué du ministère, les deux parties ont également évoqué la possibilité d’organiser une conférence pour examiner les recommandations résultant de ces deux études. Bel Haj Moussa a notamment passé, en revue à cette occasion, les principaux programmes réalisés par son département en matière d’autonomisation économique de la femme citant le programme Raydett et celui d’autonomisation économique des mères d’élèves menacés de décrochage scolaire.