Une partie de la population est particulièrement sensible au manque de lumière quand les jours raccourcissent et souffre de ce qu’on appelle la dépression saisonnière.
Dans le cas d’une dépression avérée, sans rapport établi avec les saisons, la luminothérapie peut également apporter une amélioration notable. Elle sera utilisée en complément d’un traitement médicamenteux, selon une récente étude.
Si son efficacité en cas de TAS est prouvée, la luminothérapie ne suffit pas quand le patient est atteint de dépression non saisonnière, mais offre un remède complémentaire aux antidépresseurs contre des symptômes comme les troubles du sommeil et autres processus en rapport avec l’horloge biologique.