Les chiffres de l’enseignement supérieur en Tunisie pour 2024 révèlent une réalité préoccupante. Alors que le nombre d’étudiants dans le public a chuté, l’enseignement privé connaît une croissance fulgurante. Un paradoxe qui interroge sur l’efficacité des dépenses publiques et la qualité de l’enseignement. Décryptage de Kais MABROUK.